Nous étudions le livre "Espèces d'Espaces" de Georges Perec afin d'explorer notre première thématique : l'espace extérieur. Qu'est-ce qu'habiter un espace ? Comment l'explorer ? Les approches de Georges Perec et de Jacques Roubaud nous permettent de nous interroger sur notre propre attitude, ici, dans notre nouvel environnement qu'est la ville d'Aix-en-Provence...
Voici quelques copies représentatives des réflexions des étudiants de la classe :
Espèces d’espaces : devoir # 2
Mes phrases préférées se trouvent
dans le chapitre « La ville » et dit notamment quand il
est écrit « on commence à prendre possession de la ville. Cela
ne veut pas dire que l’on commence à l’habiter ». J’étais en train de
penser à cela en marchant chez moi aujourd’hui. Je pensais que j’adore la ville
d’Aix-en-Provence et que je l’aime presque autant que j’aime Portland et que je
commence finalement à me sentir un peu plus chez moi ici. Perec m’a fait penser encore
plus parce que oui je prends possession petit à petit de cette ville mais est
ce j’y habite ? Qu’est ce que c’est habiter une ville ? Est ce que
c’est habiter dans une ville dans le sens d’être citoyen et de connaître beaucoup?
Ou est ce que c’est plutôt ne plus être touriste ?
Perec parle aussi de ne pas connaître les rues
mais de connaître le chemin qu’on prend pour rentrer chez soi. Il dit aussi que
les touristes découvrent souvent que quelque chose qu’on pense être à trente
minutes de l’hôtel est vraiment seulement à trois minutes de l’hôtel si tu
prends un chemin différent. Les touristes savent probablement où se trouvent
toutes
les églises et les musées mais si tu habites vraiment une ville, tu sais où se
trouve les meilleurs cafés et les meilleurs bars ou même où se
trouve votre église mais il n’y a pas de raison pour savoir où sont toutes les
autres églises. Je pense que je me
trouve quelque part entre une touriste et quelqu’un qui habite Aix comme Perec
habite Paris.
J’ai mieux aimé le chapitre
« La ville » que « La rue » parce que « La rue »
est très détaillé et « La ville » m’a laissé de l’espace pour penser
sur comment les mots de Perec se présentent dans ma vie et où est ma place dans
la ville d’Aix-en-Provence. Perec m’a
fait penser à comment je m’adapte à la vie à Aix et si mon français est suffisante et
les personnes me voient comme un Américaine ou comme quelque chose d’autre. Le
chapitre « La rue » est très factuel et direct mais « La
ville » m’a engagée dans la lecture pour être capable d’avoir une
conversation sur ce que Perec veut ou ne veut pas dire.
Sophia
Espèces
d’Espaces: “La Rue” et “La Ville”
Dans le chapitre qui se
concerne la rue comme espace de notre vie, il s’agit au début des détails
physiques des rues. Par exemple, Perec
parle de l’alignement des bâtiments, le du processus
de nommer des les rues, le du processus de numération des bâtiments, et les
d’autres facteurs structuraux des rues. Ensuite il parle de la rue comme espace, et
comment tout le monde doit partager la rue (les piétons, ou les trottoirs, et
les automobilistes). Il y a quelques
rues qui sont réservées pour l’un ou l’autre.
En décrivant les rues, il continue à dire écrire en écrivant/disant qu’il n’y a pas beaucoup
d’arbres, mais il y a d’autres choses qui sont fabriquées pour les habitants
des villes (les caniveaux, les lumières, les signales signaux de la circulation, etc.). Après avoir décrit toutes ces parties des
rues, l’auteur nous demande à d’observer tous tout
ce qui se passe dans les rues : les gens qui se promènent, les
taxis, les chiens, les voitures. Chacun
a sa propre histoire, et on peut les imaginer en détails les. Après cet exercice, l’auteur, en prenant un
café, écrit une lettre à quelqu’un dont qu’ à qui il pense. A
la fin du chapitre, l’auteur nous dit qu’il a commencé un exercice : il a
décrit 12 lieux, un par mois, et il n’a jamais décrit les même lieux aux
pendant les mêmes mois de la mêmes
façon qu’avant.
Dans le chapitre de la
ville, Perec a immédiatement commencé en disant que la ville est une chose trop
grande pour à pour être définie. Il a analysé Paris, des ses banlieues et des ses
arrondissements, en faisant uniquement des observations. Il a dit que « Nous ne pourrons jamais
expliquer ou justifier la ville. La
ville est là. Elle est notre espace et
nous n’en avons pas d’autre » (122).
La nature des villes ne peut pas être expliquées ;
on ne peut que faire des observations sur les villes. Il a décrit en beaucoup de détails Paris, sa
propre ville. Il la connaît très bien,
et il n’a pas besoins de justifier pourquoi il l’aime. Il connaît les églises et les grands
bâtiments célèbres, mais il ne peut pas
dire la raison pour laquelle il adore Paris.
Il a envie de se perdre à Paris, mais il ne peut pas parce qu’il connaît
trop bien
la ville trop bien. De l’autre côté, il a décrit les villes étrangères, et des
touristes qui ont absolument besoin d’un plan de la ville, et ils ne veulent
pas se promener trop loin du centre-ville.
Ils ont les objectifs à de voir des
bâtiments ou monuments différents, et si ils ont assez du de temps, ils peuvent absorber l’identité de la
ville pendant la visite en voyant la le charme
d’une ville. Comme le chapitre sur la
rue, « La ville » a terminé avec des descriptions très vivides
vivantes d’une personne en au dedans une ville (Londres). Cette personne est un touriste de Londres qui profite
de son séjour en voyant tout ce qu’il peut.
Les exercices à la fin du chapitre s’agissent traitent
des tours, monuments, et autobus qu’on devrait essayer à de connaître
pour mieux comprendre une ville.
Je crois que les
descriptions des rues sont très intéressantes dans le chapitre « La
Rue. » Ces choses dans les rues
sont des choses dont auxquelles on ne
pense pas souvent, parce qu’ils elles
sont tellement (très) normales, et on est habitué à les voir tous les jours. Cependant,
elles sont essentielles pour que la vie d’un citoyen de la ville puisse
continuer comme d’habitude. J’aime la
façon d’écriture de Perec dans ce chapitre, parce qu’il commence avec des
sujets très basics de base, et il
devient de plus en plus étroite spécifique dans
ses scénarios. On peut voir ce qu’il
décrit quand il parle des habitants des rues, comme les piétons et avec les chiens et les automobilistes. Quand il était au café, en se
réfléchissant, j’ai pensé de faire la même chose, et je me suis demandée
ce que je verrais et décrirais. Je vais
essayer a de me rappeler ce chapitre quand me je
marche aux cours vers l’université,
parce que j’ai trouvé ma routine, et même si je traverse
les mêmes bâtiments,
boulangeries, et cafés chaque jour, les
évènements dans la vie ne répète n’iront ne se répèteront jamais se répéter. Chaque jour, et chaque situation sont
uniques, donc je devrais profiter de chaque moment en habitant dans une ville
française. Je suppose que c’est la même
théorie aux Etats Unis, mais je pourrais mieux le comprendre mieux ici en France.
Le chapitre sur la ville
était intéressant aussi. Il a raison en
disant qu’une ville est trop grande à d’ pour essayer à de la définir. On peut le dire dans un sens général, que
toutes les villes ont leurs propres caractéristiques, et aucune ville n’est pas
la
même. Je pense, cependant, qu’il parle
d’une ville, de la ville de Paris en particulier, et même si on peut connaître la ville très profondément, il est
impossible de le la définir, parce
qu’elle a trop d’aspects différents aspects qui font partie de sa
personnalité son identité. Comme le premier chapitre, Perec redit qu’il
est impossible, et donc inutile à d’essayer,
à de vraiment comprendre une espace (ou une ville, dans ce cas là). J’ai
aimé surtout la différence entre « Ma Ville » et « Villes
étrangères ». C’est tout à fait correct, la différence. Dans « ma ville », c’(il) est
difficile à de se perdre, et on aime la
ville parce qu’elle est familière, nostalgique, belle, ou quelque chose
d’autre. C’est difficile à d’expliquer exactement pourquoi on aime sa
ville. Mais dans les villes étrangères,
c’est complètement diffèrent, même si on aime la ville étrangère. C’est comment je me sens actuellement à
Aix-en-Provence. J’adore cette ville, et
je m’amuse bien en habitant ici, mais je ne la considère pas encore soit comme ma ville.
Je veux absolument atteindre ce niveau de familiarité, mais je toujours
marche toujours avec un plan de la ville pour pouvoir que je puisse
trouver des nouveaux sites. Je
sais sans doute comment marcher aux vers les grands endroits qui sont bien marqués,
et je pourrais trouver le chemin de l’école ou du Cours Mirabeau si je me perdrais,
mais si quelqu’un me demanderait pour les directions, je ne
serais pas confortable en lui donnant des conseils, parce que je suis
toujours nouvelle ici aussi. C’est
vraiment intéressant de déménager à dans une ville et l’adopter
comme sa
propre ville.
Hannah
La Rue et La Ville
Il y a beaucoup des
choses intéressantes dans ces chapitres. Il décrit tout ce qui se passe dans
les rues. Il décrit avec précision toutes les choses comme les genres de
voitures, les lampadaires, et des choses comme cela. Il dit qu’il faut penser à
tout dans l’espace même des choses qui ne sont pas évidentes. Par exemple, il décrit
tout ce que les gens vendent dans les magasins. J’aime ce concept parce qu’il
faut considérer tout ce qui fait partie de l’espace. Il y a une raison pour
laquelle telle chose est là. Toute chose est importante. Dans le chapitre
« La Ville », Perec dit que la ville n’a pas toujours été comme cela.
Il y avait un temps où il n’y avait pas de bâtiments ou des rues. Perec pense
que la ville est très intéressante parce que c’est où nous habitons. C’est une construction
humaine ! Ce qui l’intéresse est comment on peut se souvenir facilement
des rues et des endroits de la ville. C’est intéressant comment nous pouvons
reconnaitre notre propre ville et l’appeler nôtre. Il ne pense pas que cela
soit l’odeur de la ville ou quelque chose comme cela. Je pense aussi que peut-être
ce n’est pas simplement les bâtiments, les rues, etc. dans l’espace. Je connais
les rues de ma ville aux Etats-Unis mais ce n’est pas la seule raison pour
laquelle c’est « ma ville ». Je connais les rues de Los Angeles et
les rues d’ici à Aix mais elles ne sont pas mes villes. C’est ce que je pense
que Perec veut dire. Aussi ce sont les expériences que nous avons dans cette
ville qui nous laissent appeler la ville comme nôtre. C’est comme la chambre.
C’est un espace personnel et par exemple ici en France ; je ne sens pas
que je suis chez-moi. Je dois avoir quelques expériences avec des gens pour
pouvoir me sentir à l’aise. A Aix, ce n’est pas encore « ma ville ».
J’habite ici mais je ne suis pas resté ici pendant beaucoup de temps pour qu’elle
soit « ma ville ».
Jonathan
Qui détermine quoi ?
En lisant « La Rue »
et « La Ville », je pense à la vie de nos jours. Nous habitons dans un monde très divers et unique,
mais surtout moderne. Certaines parties des rues et des villes nous aident
chaque jour, et nous admirons ces aspects. Le monde moderne met l’emphase (l’accent) sur
la technologie, les bâtiments, les voitures, etc. Avec tous ces éléments
modernes, qu’est-ce
qui rend
une ville belle ? Qu’est-ce qui rend une rue meilleure que l’autre ? En
lisant ces essais, je me pose des questions simples mais importantes.
Perec écrit que la rue a
deux zones : la chaussée et les trottoirs. Une pour les voitures, et une
pour les piétons. Il y a des aménagements qui nous aident comme des feux et des
passages piétons. Mais, ce qui m’intéresse est la vie dans les magasins et les cafés.
A côté des
voitures et des piétons il existe un autre monde dans des entreprises. Qu’est-ce qui fait
qu’une rue est meilleure que l’autre ? Les magasins et les cafés ou les
carrefours et les passages piétons ? J’aime que Perec puisse extraire ces idées
et ces questions en pensant à un mot : la rue. Il analyse la vie quotidienne, et il trouve l’importance
dans les autres aspects du mot « rue ».
En lisant « La Ville »,
je mieux
comprends mieux le style de l’écriture de
Georges Perec. Avec chaque essai, je connais l’auteur, et j’essaie d’interprèter ces
idées. Il écrit que la ville est « trop grosse pour une définition »,
et je suis d’accord. Qu’est-ce que c’est la ville ? Qu’est-ce qui rend une
ville jolie ? Il y a beaucoup d’éléments dans les villes qui les caractérisent
mais il n’y a pas de liste de ces éléments. Les gens créent ces éléments et
aussi ces stéréotypes. Ces stéréotypes deviennent la norme, et des personnes,
comme Perec, les questionnent. Pour mieux connaître la réponse, on doit
discuter.
Ce genre de littérature
est nouveau pour moi. Chaque fois que je lis, je comprends plus. Perec me fait poser
des questions sur la vie et des choses dans ma vie. Ce type d’écriture est
difficile à
comprendre, mais elle m’enseigne beaucoup. Les choses du monde, surtout comme
la rue et la ville, ne sont pas simples. Leurs définitions ne sont pas
seulement dans le dictionnaire. Pour mieux comprendre ces choses, on doit poser
des questions comme Perec. Celles-ci sont des questions sur la vie.
Lauren
Mes Réflexions
Dans « La Rue»,
George Perec commence le chapitre avec l’idée de la forme de l’espace, en
concernant l’alignement des rues et comment les rues peuvent avoir d’autres
formes. Une rue peut se tortiller, pendant que les autres choses ne le peuvent
pas, comme les immeubles. Les rues ont des traits imprévus, parce que toutes
les rues sont différentes. Les rues ont des noms différents, des boutiques et des cafés
différents, et les rues guidant aux lieux différents. Quelques rues ont des
arbres ou des voitures, et il y a d’autres routes qui n’en ont pas. Aussi, il y a des
tailles différentes pour les rues, il y a des rues qui sont trop étroites pour les
voitures, et il y a des rues qui ont beaucoup d’espace pour deux voitures en même
temps. Perec illustre qu’il y a beaucoup de raisons pour lesquelles on
de
utilise les rues, et les caractéristiques différentes. De plus, il pose les
questions, « Les gens dans les rues : d’où qu’ils viennent ? Où
qu’ils vont ? Qui qu’ils sont ? ». Ces questions sont intéressantes, parce que
même si
les rues ont des histoires et des caractéristiques différentes, c’est la même chose
pour les gens dans la rue. Tout le monde a une vie personnelle et quelques
choses personnelles qui le motive lui-même.
J ‘aimais beaucoup le
chapitre de « La Ville » parce que je pensais que les visions différentes
entre les villes de naissance et les villes de tourisme sont très intéressantes.
Je suis d’accord avec son idée qu’on peut « commence à prendre possession
de la ville. Cela ne veut pas dire que l’on commence à l’habiter ». Je
pense qu’ici à Aix, je ne suis pas vraiment un touriste, mais ce n’est pas encore
ma ville. Je commence de prendre la ville, et la comprendre et connaitre, mais
c’est diffèrent. Je ne suis pas encore à l’aise ici. Mais qu’il
dit quelque chose à propos des villes étrangères et du tourisme en général. Mais, je
pense qu’après un ou deux mois ici, je vais dire que j’habite à Aix, je ne
serai plus une
touriste.
Kris
La Rue/La Ville
Le passage qui m’a parlé
le plus c’est dans la partie « La Ville » et c’est quand Perec parle
des villes étrangères. Cette partie était très facile à comprendre parce que je
suis en train d’avoir les mêmes expériences en ce moment. Le premier
paragraphe de la cinquième partie est les exactes pensées que j’ai eues la
semaine dernière. Au début on est perdu tout le temps, on doit consulter le
plan de la ville à chaque virage, et on a toujours peur de se perdre. Mais,
comme Perec dit, « deux jours peuvent suffire pour que l’on commence à
s’acclimater » (p. 126). Je sais exactement ce que Perec décrit ; après
seulement quelques jours je connaissais mes routes et après presque deux
semaines j’ai l’impression que je suis à Aix depuis des mois.
La différence entre ce que dit Perec et mes expériences c’est
que je ne passe pas seulement deux semaines ici- je vais rester pour beaucoup
plus longtemps. Le but est que je ne serais pas une touriste quand je partirai ;
après ces trois mois et demie je veux dire que j’ai été complètement assimilée à la
culture française. Donc après mon temps ici ce passage ne m’implique pas mais
pour le moment c’est exactement correct. De plus, je vais voyager en Europe
pendant ce semestre. Quand je ne passe que quelques jours dans une ville, je
vais « étudier soigneusement le plan de la ville… repérer les musées, les
parcs, les endroits que l’on vous a fortement recommandé d’aller voir »
(p. 125). Oui, je vais être typiquement touriste mais c’est la seule façon dont
je connais l’expérience
d’une
ville pour la première fois.
J’ai eu plus de difficulté à me relier avec le chapitre
« La Rue ». J’ai trouvé que c’est une description de quelque chose
qui est, selon moi, très quotidien. Quand je marche dans les rues, je ne les
considère jamais. Pour moi, c’est sûr qu’il y a des trottoirs et des caniveaux.
Mais c’est parce que je considère les rues du point de vue de ma culture. Il y
a tant d’endroits dans le monde qui n’ont pas de trottoirs où de caniveaux où
même les rues pavées. Je considère comme acquis que tout le monde en a mais ce
n’est pas le cas. Il faut même prendre le temps en considération. Il y a
quelques siècles ma culture n’avait pas de bonnes rues pavées ni le système de
caniveaux que nous avons aujourd’hui. Cette idée met tout en perspective. C’est
étonnant que quelque chose d’aussi quotidien que les rues puisse être
si complexe quand on les analyse selon un dans le cadre d’espace.
Shannon
« La rue » et « La ville »
Avant d’essayer de définir la rue et comment elle
fonctionne dans une société, il faut, selon Georges Perec, commencer avec les
définitions et caractéristiques concrètes. Qu’est-ce que c’est qu’une
rue ? Est-ce que les bâtiments font partie de la rue ou c’est juste la
chaussée et le trottoir ? Seulement la chaussée ? Perec définit sa
rue à Paris en observant tous les détails concrets. Selon lui, la rue est un
espace partagé qui n’appartient à personne. En principe, c’est vrai ; mais
en même temps, il reste un certain sentiment de possession. La ville, ou le
gouvernement, possède les rues à l’intérieur de ses limites. Et aussi, les gens
qui habitent dans une rue sont souvent considérés comme les propriétaires de
cette rue : c’est leur rue. Mais oui, tout le monde dans la rue doit la
partager en utilisant certains systèmes fixes afin de maintenir la sécurité et
l’efficacité. Mais les systèmes qui semblent très simples—comme les feux—sont
en réalité, vraiment complexes quand on considère la synchronisation et le
mouvement de la circulation. Selon cette description de Perec, les rues sont
comme des
petits écosystèmes.
La plupart de sa description ne concerne pas les gens.
Mais un moment que j’ai trouvé vraiment intéressant, c’est la liste des opérations
qu’un conducteur fait pour acheter des fruits. L’observation est vraiment
détaillée. Franchement, je pense que ça serait vraiment difficile de regarder
les gens qui passent dans la rue sans juger. Mais Perec fait des groupes (les
personnes du quartier, les touristes, etc.) au lieu d’examiner les individus. On
peut voir dans son écriture que Perec a des difficultés. Il remarque seulement
les choses insolites et particulières, mais c’est tout à fait normal. J’admire
la manière dans laquelle Perec fixe son regard ; il est vraiment dédié à
la simplicité—l’exercice avec les douze lieux différents est presque fou, mais
admirable pareillement. Dans le premier travail pour ce cours, je pense que je
trouverai l’expérience difficile car ce n’est pas un exercice d’émotions. Je
trouve, dans mon écriture personnelle, que mes observations sont plutôt des réactions
sur ce que je vois ou sur mes expériences. Ça Cela va être intéressant d’essayer juste d’observer
(mais précisément).
J’aime comment Perec reconnait la fluidité de la ville,
comment elle change avec le temps. Même dans la période d’une génération, une
ville peut changer complètement. Donc dans quelques siècles...c’est presque
inimaginable. Selon Perec, les villes sont le centre de nos vies. Et puis il écrit,
« Il n’y a rien d’inhumain dans une ville, sinon notre propre
humanité ». Cette phrase m’a frappée la première fois que je l’ai lue. Je
ne suis pas sûre, mais je crois qu’il dit que la seule chose inhumaine dans une
ville est notre humanité. Je ne sais pas comment l’humanité peut être
inhumaine. Peut-être nous ne sommes que nos créations, les bâtiments, les rues,
les monuments. Je dois continuer à penser sur cette phrase. La partie qui
discute la ville étrangère est vraiment semblable à mon expérience ici à Aix. Je
suis en train de prendre possession de cette ville. Je me souviens de mes pas
hésitants et mes regards sans direction. C’est un processus lent et j’ai
beaucoup plus à découvrir. Mais, au moins, je commence à être confortable dans
cet espace étranger.
Morgan
La Rue dans La Ville
Perec
a plus
qu'assez de bien de nombreuses bonnes idées et commentaires dans chaque
chapitre de Espèces d’espaces ;
« La rue » et « La ville ».
Il écrit beaucoup de choses auxquelles je n’avais jamais pensé avant. Il écrit avec beaucoup de détails sur des
choses que je n'avais jamais pensé à analyser comme une rue ou un lit ou une page. C’est intéressant que Perec puisse prendre
une petite chose, comme un arbre dans la rue, et le discuter en grands
détails. Je pense que ce livre est en
partie un manuel pour enseigner à quelqu’un la façon de déterminer ou
d’explorer les espaces différents.
Dans
« La rue », Perec affirme que l'alignement des immeubles est très compliqué de
même que l'alignement des rues et la complexité du numérotage des maisons. Je ne me suis jamais rendu compte
que toutes
les rues sont
connectées
pour créer
un espace unifié ; les rues raccordent le monde. Quand il demande que vous décriviez la rue,
je me suis rendu compte qu’il veut que l’on ouvre les yeux. Nous avons besoin de voir le monde, parce que
si nous ne le
faisons pas alors nous ne pourrons jamais le comprendre entièrement. La description de ce qu'un véhicule fait a
beaucoup plus d'options qu'on pourrait penser. Il y a beaucoup d'actions qui se
déroulent simultanément.
Dans
« La ville », Perec pense qu’il faut que nous fassions « …l’inventaire de ce que l’on
voit » (119) afin de définir le mot : la ville. La citation : « Ne pas essayer trop
vite de trouver une définition de la ville ; c’est beaucoup trop gros, on
a toutes les chances de se tromper » (119) est très intéressante parce que
Perec donne une explication pour presque le reste des mots dans son livre. Comment l'odeur d'une ville en face de l'océan
voyage d'Europe en Amérique ?
Comment déterminez-vous l’âme d’une ville ? Pourquoi avez-vous besoin de déterminer l'âme
d'une ville ? Après ce chapitre,
« La ville », je veux juste les réponses à toutes ces nouvelles
questions dans mon esprit. Je suis
reconnaissante que je vis dans une ville comme Aix, afin de pouvoir utiliser
certaines de ces techniques mieux améliorer mon expérience. « Il n'y a rien d'inhumain dans une
ville… » (122).
Sophie
Espèces d’Espaces
Les chapitres « la rue » et « la
ville » sont très intéressants, je n’ai jamais pensé sur les rues dans le
détail de la
vie. L’auteur parle des bâtiments qui devraient
être alignés les uns à côté des autres et leur alignement détermine
le type de rue. Les rues sont comment les
maisons s’identifient. Ce qui est
intéressant c’est la façon dont l’auteur dit que les maisons appartiennent à des
personnes, mais les rues n’appartiennent à personne. Sur chaque rue il y a des zones désignées pour
la conduite et la marche et tout le monde y adhère, mais il y a des cas
particuliers
où
la rue ne permet pas de voitures où vice versa. Chaque rue est unique et a des règles
différentes. J’ai aimé le
passage, « Pendant plusieurs siècles, il n’y eut qu’un seul caniveau et il
se trouvait au milieu de la chaussée, mais l’on considère que le système actuel
est mieux adapté (97) ».
Je pense que c’est intéressant parce que le temps que l’humanité a progressé,
la gouttière a été adaptée. Cela va de pair avec ce que nous avons
discuté en classe sur la façon dont l’espace est partout, mais il est en constante
évolution.
L’autre chapitre sur la ville était très
intéressant parce que l’auteur est allé dans les détails sur la façon dont nous
ne devrions pas essayer de définir une ville parce que c’est trop grand et
signifie quelque chose de diffèrent pour chaque personne donc il ne peut y avoir
une définition concrète. Il est intéressant de réfléchir à la façon dont la ville
utilise son espace ou pourquoi l’espace se trouve où il est. L’auteur parle de comment nous devenons très
confortables et familiers avec nos villes et elles deviennent une
partie de qui nous sommes, c’est notre espace.
Cela remonte renvoie à notre discussion en classe sur l’espace
et la façon dont nous vivons à l’intérieur et comment nous les utilisons
et comment chacun voit l’espace différemment.
Hannah
« La
Rue » et « La Ville »
Je suis
très contente de ne pas lire ce livre à haute voix, au deuxième paragraphe du
chapitre La Rue, il y avait seulement
deux phrases dans tout le passage, je pense qu’il l’a fait pour représenter une rue,
la façon dans laquelle une rue continue pour les grandes distances. Dans tout le livre, chaque chapitre ressemble
à l’espace de qu’il dont il a parlé. Les mots écrit dans ce chapitre font la même chose.
Par Dans tous mes moments passés
en France j’ai souvent vu le mot « bis » nommer une rue. Pendant que je lisais le chapitre, l’auteur a encore
utilisé le mot « bis » pour nommer une rue. Je suis curieuse de savoir s’il y a une
importance associée avec ce nom. J’ai aussi que noté que dans le chapitre il y avait une grande différence entre
les rues aux Etats-Unis et en France, d’abord, il a dit qu’il n’y avait pas d’arbres dans la rue en
France, aux Etats-Unis il y en avait plusieurs, de chaque côté de la rue d’une
part, dans le centre d’autre part. Crée ca Cela crée une cloison entre
la circulation à gauche et à droite.
J’ai un
commentaire pour une phrase, à la page 100 Perec a dit, « La rue :
essayer de décrire la rue, de quoi c’est fait, à quoi ça sert. Les gens dans la rue. Les voitures. Quel
genre de voitures ? » (page 100). Quand j’essaye de décrire la rue je
pense à la terre, à son état, à son âge, à sa couleur, ect. etc. Je ne pense pas aux
gens et seulement de temps en temps je regarde bien les voitures, normalement seulement
si elle est vraiment chic ou vraiment en mauvais état. Il décrit plutôt les plaques de voiture, il
m’a fait pensé à mon
enfance, pendant les voyages en voiture avec ma famille, je regardais tout le
temps des les plaques
et leur origine.
Quand j’ai lu le chapitre La Ville, le troisième passage, à la page 121 je l’ai trouvé très
intéressant, lorsqu’il a dit que tous les quartiers chics d’une villes sont
situés loin de la mer parce que le vent y souffle.
À la fin du chapitre il a parlé des villes étrangères, il
m’a fait penser à la
première fois où je suis dans une nouvelle ville. Si on fait une comparaison
entre le premier jour là et les jours après, la même ville semble complétement
différente. Il y a beaucoup de choses à regarder au premier regard par exemple au
début peut être qu’on regarde toutes les fleurs qui sont accrochées aux fenêtres et on manque la fontaine dans le centre de la rue,
donc la prochaine fois le lecteur viendra le lendemain avec une perspective
complètement différente.
AliciaRose